Il existe des vies que la société oublie, mais que Dieu éclaire en silence. Ici, caque témoignage devient une flamme, une lumière pour quelqu'un d'autre. Raconte ton expérience, partage une parole d'espoir, un mot d'encouragement. Ensemble, faisons briller l'humanité.
Christophe MUSINA (Agent de sécurité, 32 ans)
Je vis à Kinshasa. Chaque fin de mois, mon salaire arrive… et s’en va avant même que je le voie. Le loyer avale la moitié, le riz prend le reste, et je me débrouille pour que les enfants mangent, même si moi je saute un repas. Je souris au travail, mais la nuit, je me sens totalement perdu et j'ai peur de ne pas assurer le quotidien. Parfois, je marche longtemps pour économiser le transport, le cœur lourd mais la tête haute. Parce que tomber, ce n’est pas mourir. Tant que Dieu me réveille, c’est qu’Il n’a pas encore fini de m’écrire.
Je ne suis pas riche, non. Mais j’ai la foi, et c’est elle qui me nourrit quand le pain manque. Ma lumière n’éblouit personne, mais elle résiste. Et c’est déjà un miracle.
Hornella, 20 ans, etudiante
Je ne te connais pas, mais je suis passée aussi par les difficultés.
Parfois tu souris devant les gens, mais à l’intérieur, tu pleures. Mais, sache que Dieu n’a pas oublié ton nom, même si plus personne ne t’appelle .Tiens bon. Pleure s’il le faut, mais ne lâche pas. Ce que tu vis maintenant, ce n’est pas ta tombe, c’est ton passage. Et de cette nuit, crois-moi, une lumière va naître.
Il y a des vies qu’on ne voit pas. Des gens qui sourient le jour et s’effondrent la nuit. Ceux que la vie a oubliés ne sont pas faibles, ils sont juste fatigués d’être forts tout seuls. Mais écoute- moi bien : Dieu n’oublie jamais ceux que le monde rejette. Il voit les mains vides, les prières sans mots, les yeux qui brillent encore dans la poussière. Ce livre n’est pas une histoire.
C’est un cri. Une lumière. Une preuve que même dans l’ombre, il reste un souffle. “Ceux que la vie oublie, Dieu ne les oublie jamais.” Et si tu lis ces mots, c’est peut-être parce que toi aussi, Il t’a gardé en vie pour te rappeler : Ce n’est pas fini.